samedi 14 mars 2009

Témoignage de Marlène de Wouters

Cela me fait penser à la fois où j'ai interviewé la princesse Esméralda à Londres. La fille cadette du roi Léopold III, née de son mariage avec Lilian Baels, est présidente d'honneur de diverses organisations caritatives et s'investit - tout comme moi d'ailleurs - via l'association Delphus dans des programmes de delphinothérapie destinés à des enfants autistes. La "petite" soeur de notre roi Albert vient régulièrement en Belgique, mais elle habite Londres. Demeure princière ou pas, c'est toujours passionnant de pouvoir tourner chez quelqu'un. A l'époque où je présentais "Marlène Exclusief", une émission où nous interviewions les grands de ce monde, je me souviens que nous avions une règle d'or à la rédaction : ne jamais crier victoire avant d'être sur le chemin du retour avec la cassette en main! Avant d'entrer, je me pose toujours toute une série de questions : quelles pièces de la maison allons-nous pouvoir filmer? Qui va ouvrir la porte? Ses enfants seront-ils à la maison? Et le cas échéant, serons-nous autoriser à les filmer?

Lorsque je découvre que c'est la princesse Esméralda en personne qui vient ouvrir bien grand la porte, je sens très vite que cet entretien promet d'être exceptionnel. Chaleureuse, spontanée et étonnamment détendue, elle nous fait visiter sa demeure londonienne pendant que ses deux enfants, Alexandra (10 ans) et Léopoldo (7 ans), courent avec agitation dans la maison. C'est une joyeuse petite bande. Esméralda parle ouvertement et avec beaucoup d'affection de son enfance heureuse, de son attachement exceptionnel à son père, le roi Léopold III, avec qui elle a vécu tant de choses au cours de leurs voyages. Elle nous laisse filmer sans problème la majeure partie de sa maison.

Esméralda est le sixième et dernier enfant du roi Léopold III. Elle est née alors que son père était déjà âgé de 54 ans, un moment de sa vie où le calme a succédé aux périodes agitées de sa royauté, la guerre, l'exil et le difficile et émouvant retour en Belgique. Esméralda se rend compte qu'elle a eu de la chance que son père n'ait plus de lourdes obligations, quand elle était petite. Grâce à cela, elle a pu passer beaucoup de temps avec lui et a grandi dans une vraie famille : "Mes parents nous ont donné beaucoup d'affection et de chaleur, ce qui est extrêmement important pour une éducation équilibrée. C'est pourquoi je couvre mes propres enfants de bisous et de câlins. Parfois, je me dis que j'exagère peut-être".

Esméralda n'est pas seulement une maman moderne, elle est aussi une femme active qui participe à la vie londonienne. Elle est journaliste et écrit des livres. Cependant, elle a mis un moment ses activités professionnelles entre parenthèses afin de pouvoir être davantage auprès de ses enfants. Maintenant, elle est en train d'écrire un nouvel ouvrage consacré à la nature.

Plus tard dans l'après-midi, lorsque nous prenons le thé ensemble dans la cuisine avec les enfants, j'assiste à une scène exceptionelle. Son fils Léo fait le clown à table. "Tiens-toi un peu correctement, Léo" dit la princesse Esméralda. Sur ce, la meilleure amie de sa fille Alexandra me désigne du doigt et réplique : "Yes, Léo, behave. Just imagine she's the Queen". Il y a un moment de silence. J'essaie de me retenir de rire, puis amusée, regarde du coin de l'oeil la réaction d'Esméralda. Elle répond à mon regard, me fait un clin d'oeil et rit. La petite Alexandra caresse le bras de sa maman et lance comme si c'était un jeu : "Oh, yes, Mum, and you're the princess....".

Marlène de Wouters, magazine "Royals", mars 2009.

2 commentaires :

  1. C'est charmant, comme souvenir! Et j'ai apprécié de pouvoir "sentir" le côté spontané d'Esmeralda, que je ne soupçonnais pas...

    RépondreSupprimer
  2. « Bonjour, vous ne faites pas erreur, pour le nord et ne pas le perdre c’est bien moi. La préparation de votre entrée a été bien particulière pour ne pas avoir de trace sur le registre du poste de garde. L’issue de secours a cet avantage là et les consignes militaires aussi. Pour situer le contexte aujourd’hui c’est pour savoir faire voir le monde où il est en attente de l’humanité pour le jour où il sera demain. Lundi, après demain ce ne sera pas pour la lune mais pour l’esprit des études à retrouver. Ses études pourraient être particulières parce que si nous savons bien ce qu’est l’humanité et ses intérêts particuliers nous ne savons pas savoir où en est le monde obscur sauf les perceptions que nous en avons comme pour la caverne et l’allégorie qui va avec. Quoique pour l’exposé des faits de la caverne il peut y avoir des moyens plus simple de le faire comprendre que la superposition virtuelle de montages qui en est faite au point que les gens n’en retiennent que les conclusions en place de la démonstration elle-même digne d’un esprit perturbé pour être enfermé dans ses propres fantasmes. Pour l’heure qui nous intéresse c’est loyauté et légitimité bien ensemble et pas comme à retardement pour n’avoir pas été pris sur le fait et encore moins pas de loyauté du tout comme chez lui. Pour être plus précis il n’est pas encore pour dire déjà cette heure là pour un témoignage ultérieur quoique avec le temps qu’il mettra à le dire il ne restera pas grand monde comme témoignage oral à se souvenir de l’heure à défaut du jour qui est caractéristique avec la cloche qui sera faite. Une trinité pour accorder tout le monde. Pour le moment nous sommes un peu en avance, il n’est pas déjà onze heure comme deux L accolés. Dix heure et demie, pas pile pour le pouvoir mais avec un e à demi pour l’expérience comme de vérification en cours puisque les aiguilles montrent trente quatre pour me faire penser à la fin de l’élaboration de l’autre pour dire quand il est vraiment arrivé dans mon contexte. Bon au niveau de l’heure à mon retour je pourrais nourrir mes poules avec du bon grain dans mon presque pas poulailler puisqu’elles sont en liberté dans la cour, bien assises comme campées sur les L qui ne permettent pas de voler tant au propre qu’au figuré. Quant à voler nos paroles ici il ne faut par y compter malgré la sorte de mégaphone à l’envers qui paraît-il existerait pour recueillir les voix à distance. On lui a fait comprendre à Thieu pour l’écoute des murs, ici même pour leur franchissement sans avoir à tomber dans la vase, comme ça il sait que tout le monde est d’accord. Pour les imbrications qui vont avec et lient tout le monde, à Lindau il y aura une grille en bordure du futur parking qui ne servira à rien d’autre que de symboliser le regroupement des unions et faire savoir que les choses s’imbriqueront dans le bon esprit, comme pour la sorte de peigne pour tenir les cheveux et faire croire qu’avec leur forme ça puisse mieux tenir. Pour prendre la peine de ramasser les pierres qu’elles peuvent trouver, elle peuvent montrer leur derrière que ça ne changera pas la face du monde. Alors je viens ici pas pour voir mes autres poules qui n’y sont pas pour dire n’y sont plus pour être ailleurs même en centre ville même si dans un sens où elles sont elles n’ont rien à y faire. L’une d’elle sait se prendre pour un pigeon voyageur pour savoir toujours rejoindre son bercail même si ce n’est plus de sa volonté. Elle va régulièrement à Saint Pierre mais ils ne veulent pas lui remettre les clefs que chacun sait en attente du manque de dernier retour. Elle sait bien où elle va aller pour en être déjà presque revenue en sachant faire pas voir les sens à la suite et la motricité non plus au niveau du bas. L’autre sait pour le moment rester bien à sa place en attente des crêpages de chignons qui devraient arriver avec la prochaine. Enfin c’est comme ça au niveau des croyances bien établies en attendant que ça change. Elles savent bien s’occuper de leur situation et bien profiter. Alors je ne viens pas pour les nourrir puisque celles de la basse cour savent bien s’occuper du grain que je leur donne pour m’occuper le matin vers onze heure quand le soleil arrive à transparaître à travers les trouées du feuillage dans la cour pour donner un peu envie de prendre l’air. Il y aurait bien le moyen d’élaguer comme de carrément abattre les arbres les plus proches du logis, mais ils disent que ça dépareillerait l’ensemble de la forêt. Une excuse pour ne pas avoir à faire ou faire faire ce travail pour en avoir une charge supplémentaire même si en ce cas ça consiste seulement à vérifier que cela ait été fait pour passer à l’addition finale. Quant à affaiblir le trésor ce n’est qu’une paille perdue dans l’ensemble comme d’une aiguille dans une botte de cette matière, sans compter que ça permet de répartir les sommes accumulées par l’échange du travail. Je viens juste pour la connaissance, pour la sienne comme de celle des autres en général. Pour un rendez vous ici c’est assez discret puisque je peux aller et venir comme nostalgie du temps passé ou voir si les orangers comme autres vanilles sont bien soignés comme de revoir certains employés pour prendre des nouvelles et garder le contact. Pas du coté du lit qui n’est de la rivière même si de la rivière on sort quelques pierres et même des perles, ça n’est pas fait pour se nourrir directement quoique ça peut bien aider. Dans ce cas des nouvelles j’en ai régulièrement comme presque deux fois la semaine voire davantage pendant les vacances. Ma fille lui a dit à Londres, dans l’autre cour carrée qui n’est celle du Louvre, l’esprit sur son monde, qu’il garde le souvenir du dire que j’entretiens à défaut de la place elle-même qui bientôt ne sera plus comme si d’autres voulaient ne pas laisser de trace alors que de fait ce n’est qu’une adaptation à la modernité. Une poule j’en ai une bien prise au point de m’avoir doublé et de n’avoir pas intérêt à aller voir ailleurs. Il y a de petits mariages comme celui qu’on lui a fait voir pour sa mère pour croire et s’arranger avec la morale et donner en cas de besoin une quelconque légitimité. Les noms des mères y sont bien pratiques pour la non clairvoyance. Quant à savoir si elle est éprise, ce sera une question d’usage dans la durée puisque pour la pratique liée à l’age je n’ai pas beaucoup de goût pour ça malgré les moyens pour y remédier. Il y avait encore quelques restes le 22 du même mois dans l’année considérée pour avoir la même séquence en jours, le sens pour les années de séparation. Le garçon attendu n’est pas arrivé, mais après tout la loi salique n’est que convention et ne pèse pas lourd devant l’illégitimité des deux autres. Elle a du lui faire comprendre pour l’histoire de la belle Hélène comme cheval de Troie en place de poulinière pour avoir pris une veste prémonitoire avec le nom prêté devant l’union royale, une urgence à rénover aussi. Elle n’avait pas compris par avance qu’être reine même au foyer comme au lit aussi ça comporte des obligations comme de la loyauté. Un tour de passe-passe a été heureusement dévoilé avant l’arrivée de fruit tant elle a été pressée d’obtenir des avantages. En fait de prétendu amour, ce qui intéresse ce genre de femmes c’est de se brancher au cul pour assurer leur avenir. Qu’il sache bien que le plaisir des sens comme en parlent les autres comme pour culpabiliser, dans le contexte féminin c’est aucun sens pour aucune sensation sinon le fait de pouvoir se faire gonfler. Dit différemment quand elles sont demandeuses c’est du portefeuille qu’il s’agit comme représentation du cœur pour être placé dessus comme sur ma veste où il n’y en a pas du moins en le sens du porte monnaie puisque ma signature suffit. A charge cependant pour moi d’en prendre note pour pouvoir vérifier les comptes. Pour préciser le sens des mots le nom prêté dans l’affaire n’a rien à voir avec le véritable pour bien faire savoir à s’en moquer, le prénom est comme pour la rue Christine où nous l’avons fait marquer pour le reconnaître sans pour dire avec le moins d’erreur possible avec l’apparence de tatouage pour ne pas faire voir. On lui a fait des bonbons pour les enfants comme cadeau surprise aussi, des violets à ne pas garder même au fond de la gorge au risque de s’étouffer comme de l’apoplexie des autres en manque de vérité. Kinder comme chocolateries pour le souvenir, Mann comme pour les suites des actions de ma mère qu’il n’est pas prêt de voir venir sans qu’il n’y ait de diffamation pour ça pour cause que cette dernière n’a rien à voir à l’affaire. Pourtant elle avait une famille honorable, et même un peu trop connaisseuse de la bonne fortune et des moyens de s’imposer sans risque de violence ni même d’être reconnue. Là pour les chocolateries ce seront de vrais poches surprises, pas comme pour celle des marsupiaux où la surprise est de ne pas savoir y trouver ce qu’il devrait y être, ce n’est pas comme les doublés ou tiercé pour les chevaux qui ne sont pas à vendre mais à bien prendre dans des sens différents pour savoir en étudier le contexte afin de s’assurer du résultat. En effet le contexte comme ensemble du milieu et son aménagement particulier si possible permet de s’assurer du résultat des courses comme du résultat d’actions dans la vie de tous les jours. Pour l’avenir du premier qui m’est affecté à tord on a su lui en trouver une qui de fruits ne risque pas de lui en faire venir d’ailleurs pour cause que le porte greffe même s’il le veut ne pourra accepter l’importation de greffon. Pour la bonne présentation à la famille, elle est sensée venir de l’étranger et personne ne s’est inquiété de voir sa rapidité d’adaptation au niveau de la langue. Pour l’autre au vu du contexte ça risquerait bien d’arriver. Ce que ma Lili lui a dit a été à mon initiative pour ne pas perdre la maîtrise des choses à savoir ultérieurement s’il saura s’en souvenir. L’ancienne est au courant du fait et ne peut rien en redire sinon participer à la comédie devant les autres, d’ailleurs, il l’a vue hier au soir et j’ai comme une idée de ce qu’elle a bien pu lui dire aussi tout en sachant qu’elle n’en a plus pour longtemps à atteindre le but comme objectif de la vie en quelque sorte. Elle a raté sa rencontre avec le destin à Enney, elle n’est pas née là, pour le jeu de mots, pour n’y mourir pas non plus sauf avoir raté la marche en avant pour l’avoir prise sur l’arrière de la voie de chemin de fer. Ce n’est pas exact au mot prêt mais avec le sens je sais m’y retrouver. Quant à küssnacht comme I kiss la nuit le cul en avant ç’est un signal pour ceux qui disent savoir vérifier. Je ne vois pas ce que j’aurais bien pu faire là-bas, si notre route passait par un lac ce n’était sûrement pas pour faire un détour par le Bodensee pour avoir connu les deux églises de Lindau bien plus tôt que ça, ni pour passer par Ulm dans la ligue d’Augsbourg pour avoir eu le loisir de visiter Rudolstadt beaucoup plus au Nord aussi avec l’ancienne faiencerie ou onze kilomètres plus loin la ferme de mes ancêtres sans plus avoir d’attache là-bas non plus. Pour couper court, en aparté je préfère la porcelaine de Sèvres à défaut de celle de Limoges que je laisse au niveau du symbole à ceux qui vont se faire limoger. Le tout sans compter sur la route la plus directe qui n’est pas celle à vol d’oiseau sur la sorte d’urgence à rentrer. Même à cette époque prendre par les grands axes était plus rapide sans être plus certain d’arriver à destination au vu des aléas provoqués sur la route. Le See lac quitte à en faire le détour pour rejoindre Neuchatel au moins étaient sur la route du retour. Le lieu des vacances c’était à Ferret du coté de Saint-Bernard dans l’Entremont sûrement pas vers les grisons pour ne pas risquer de voir de presque luzerne comme nom de ville. Pour le reste ça lui a été déjà dit. Je résume : Une ouverture de porte intempestive pour croire mieux s’en sortir qu’en restant à l’abri de la sorte de blindage offert par la carrosserie du véhicule. Peut-être une crainte d’atteinte à son nez qu’elle n’a pas si avantageux que ça pour lui avoir créé quelques ennuis dans sa capitale et faire partir le reste en capitolade pour en avoir été bien reconnue, pas par l’acteur comme bricoleur mais par tout l’entourage de la rue et les détectives comme espions qui se sont trouvés avec pour dire dans la foule qui s’y trouvait. Le tout comme pas par hasard au vu de l’envie précipitée d’y aller faire un petit voyage comme pour reprendre un collier sans faire confiance à un missionnaire pour la mission qui aurait pu lui être proposée en tout honneur, sans compter sur un attrait bien soudain la veille du départ pour la chose que nous appelons devoir conjugal et les autres fornication quand ça les arrange. Je dis bien les détectives pour avoir eu la méfiance de ne pas faire confiance à un seul témoignage tout en faisant croire à chacun d’eux qu’il était seul sur l’affaire sans oublier que les nationalités étaient différentes pour qu’ils ne puissent pas se reconnaître et avoir quelque collusion entre eux. Dès le départ j’avais un envoyé toutes affaires cessantes, à Paris ils ont eu plus de temps pour s’organiser. L’ambassade, pas les embrassades au retour, a été bien utile pour donner une photographie prise dans leurs archives. Le plus difficile est de faire reconnaître ça aux autres même s’ils ne se gênent pas pour en faire quelque remarque comme s’ils ne savaient pas. Je ne vais pas la voir pour accréditer la version officielle de son décès, mais sais savoir garder le contact. La voiture à l’origine de l’accident je l’ai officiellement délaissée dans le lac des quatre cantons que les autres peuvent toujours chercher, une idée qui m’est venu comme ça en référence aux quatre L quant on dit et même fait quelque chose. Elle n’était pas aussi abîmée que ça sauf le bas du radiateur bosselé à l’envers puisque le talus était en pente douce. Pour la déplacer vers le destinataire comme acheteur final il n’y a pas eu besoin de remettre plus d’eau que d’habitude. J’ai pu la revendre pour avoir le quelque argent de poche qui me fait défaut pas plus qu’à elle, pas la voiture mais l’autre quand même en un sens comme chaussure à son pied. Babeth saura me faire un compte rendu détaillé dont je me doute du contenu même si et surtout si je ne la joins pas par téléphone. Je peux bien dire son prénom parce que même si c’est celui de ma mère vu le nombre de personnes qui le portent, il n’a aucune autre indication pour savoir de qui il s’agit, sauf peut-être une relation avec Malines « …… » et une coiffure somme toute autant commune que la couleur des cheveux plus clairs cependant que ceux de ma fille pour ne pas dire jaune pour l’or des yeux tout court. Je dis « …… » pour ne pas avoir à ultérieurement brûler des chips pour pouvoir acheter ces rondelles de pomme de terre déjà cuites comme grillées au four comme ça se fait déjà outre atlantique pour bien l’aider à situer le lieu de mercredi soir pour l’expédition à l’orée de la nuit en référence au dieu voyageur sans avoir besoin de dire comme je dis. Des personnes bien parlantes sont plus sures pour faire la liaison, question d’intérêt devant des projets et des intérêts bien partagés. Elle a bien voulu me remettre les bijoux de famille pour le symbole. Là où elle est, presque pas les pieds dans la Meuse pour pouvoir presque pas s’y tremper les pieds en cas de sortie vers la berge comme plan mal incliné au risque d’y tomber et de ne pas rater de s’y noyer sans que personne n’y puisse rien malgré la qualité de l’entourage, elle a eu tout le temps de penser à les admirer même si son entourage n’a rien pu voir. Son chapelet en fait office comme autant de rivière passée au cou, elle peut compter les grains du pouvoir de sa fortune comme mauvais sort et autant de mystères que de sens devant la quadrilogie. Elle est là-bas comme d’une relation éloignée de la famille pour en porter le même nom sans plus d’avantage sinon la grâce d’être toujours en vie pour ne pas dire une sorte de calvaire en épreuve avant de passer devant Saint Pierre en réponse à ce qu’elle a fait en croyant bien faire selon toutes apparences. Au vu du dernier bilan il y a des chances pour que cette fois il n’y ait pas de retour si ce n’est aux sources comme poussière du chemin. Les autres en général et quelque soit leur niveau dans la hiérarchie savent bien faire pour donner des idées et en tirer avantage sans compter sur toutes sortes de pressions. L’invention des pêchers doit bien y être pour quelque chose malgré l’invention du pommier avec le serpent comme du venin qui n’est d’abeille en arrière plan. Comme chacun sait les abeilles piquent au prix de leur vie pour défendre leurs congénères et le serpent n’en a d’usage que pour mieux grossir au détriment des autres par l’usage bien dosé qui est en est fait pour l’accumulation subséquente des données et relations dans les entreprises comme dans le simple voisinage. Et dire que nous les payons ; mais pas pour faire de ce genre d’excès de zèle, juste pour un succédané de théâtre gratuit pour alimenter la bonne convergence des esprits pour ne pas dire explicitement développer notre point de vue. Une autorisation dont de toute façon je me serais bien passé pour ne pas laisser aux autres les bijoux de ma famille qui malgré l’affectation symbolique pour les avoir portés ne relève aucunement de la sienne. Ma Charlotte connaît le problème et même si elle n’approuve pas pour elle-même, elle ne peut que me rejoindre sur sa propre évidence comme la sienne l’a fait depuis bien longtemps. Ce n’est pas neutre si elle ne peut avoir d’enfant, les vitamines frelatées y sont bien pour quelque chose. Bien sur nous n’avons pas de preuves autres que des fréquentations des gens de notre entourage, tout en sachant que pour le contexte certains verraient des avantages à voir la lignée de mon frère en place de la supposée mienne pour croire l’avoir plus facilement sous sa main. Mon frère connaît bien le problème et n’a pas fait obstacle en sachant résister aux reproches de sa femme que nous avons calmée avec un collier de perles en souvenir. Tout ça pour un supposé pouvoir que nous n’avons pas sauf la croyance. Il n’y a que les autres à y croire pour justifier le leur propre, une apparence qu’ils se donnent comme pour justifier leurs exactions sur les esprits que l’on ne sait pas bien prouver. De pouvoir je n’en ai pas pour bien le redire, je dois reconnaître cependant une certaine influence comme de celle des anglais en leurs colonies, des transferts d’idées dans le carnet d’adresses qui est bien rempli même si je ne le fais pas savoir. Depuis que j’ai officiellement laissé les obligations de la charge à un autre j’ai gagné en liberté sans perdre une parcelle de ces relations qui ne sont pas d’affaires mais dans une chose à faire quand même. Son père et elle-même sont revenus de leur tour du monde en particulier par le Normandie pour en avoir aimé le nom et être provisoirement établis chez un «……» dans la province du même nom tout en ayant un pied à terre dans la capitale comme le lui a dit mon apparence de fils. Je dis bien apparence de fils pour le premier pour ne pas être bien certain du père à défaut du second dont je ne veux pas entendre parler pour avoir un père très bien déterminé. La marraine de ma fille le lui fera connaître plus tard, pour la reconnaître elle aura une bague en forme de navette de la même couleur que celle là pour faire penser à l’esprit saint. Les autres en ont aussi pour le même symbole mais là leur esprit il vaut mieux avoir à s’en méfier. Les adoptés sont restés avec la domesticité comme si elle était de leur propre famille, à voir s’ils sauront garder toute simplicité et qui perdra la tête en premier. Je le sais par mes différents contacts puisque les premiers intéressés comme sorte de parents ne m’en ont pas parlé et ne m’ont même pas invité à leur mariage. Je n’ai même pas pu contacter les témoins de ce mariage pour vérifier; autant qu’il le sache. Quant aux enfants je n’ai pas besoin de vérifier qu’ils ne sont pas de ma fille puisque c’est déterminé depuis une décennie voire une douzaine d’années, ce n’est pas pour rien qu’on ne lui a pas trouvé d’époux pour ne pas avoir à faire avec une sorte de tromperie sur l’état des lieux avant la sorte de prise de possession. Les pierres, je les distribue au compte goutte comme autant de garanties sur le futur. Une aide alimentaire comme à l’éducation aussi sans passer par les fourches caudines du contrôle du trésor et ce qui s’en suit comme inconvénients divers que je sais suspecter pour ne pas être innocent devant la corruption des vitamines. Je les tiens en lieu sûr comme pour «……» en une « …… » de ma connaissance. Un déménagement d’un comme secrétaire préparé par mon beau-fils. Il lui a fait voir l’endroit pour qu’il puisse ultérieurement se repérer. Un moyen simple d’y aller est de partir de la presque «……» qu’on lui a fait voir comme «……» , sur la route du soleil des vacances, prendre la loyauté avant «……» sur un chemin qui sera bien « ……» quand il viendra pour n’avoir pas «……» puis une humanité en kilomètre et un esprit pour les hecto qui ne seront de Pascal puisque c’est prévu ainsi pour le changement de référence, plus tard de ne pas prendre le mont «……» pour ne pas être le mont de Vénus qu’il connaîtra en manque de loyauté mais prendre la légitimité pour une humanité encore à savoir si ce sera la même jusqu’à arriver à «……» . Un passage par un chemin détourné bien que pas épineux pour reprendre l’image des autres, pourtant le plus facile n’est pas celui qui est le plus simple à retenir malgré les repères évidents du chemin de fer même sans hall de gare ou par un autre plus direct comme d’un passage devant un cimetière pourvu qu’on ait su prendre la bonne route au bon carrefour. Il pourra toujours rechercher comme nom de rue celui de « ……» pour faire croire. A l’arrivée ça fera la Trinité, l’Humanité et l’Esprit qu’il aura intérêt d’avoir tout comme les sens qu’il aura intérêt à garder bien ouverts aussi pour savoir s’y retrouver et le faire savoir sans avoir à le dire. Comme sorte de sagesse aussi pour même dans son contexte pour ce que l’on fera croire savoir adopter l’attitude du sage qui sait ne rien voir, ne rien entendre du moins en apparence et surtout ne rien dire avant le terme de l’épreuve comme pour dire tout voir, tout entendre et n’en rien laisser paraître même pas en prise de notes. Bon disons que pour la ferme c’est une ferme que j’ai prise au hasard pour l’éprouver et voir s’il saura s’en souvenir tout comme pour la bague et ses futurs boutons de manchettes. Pour le souvenir aussi, comme symbole il y aura des pommes de terre du lieu comme bonnes à tout faire et plus tard de sa grand-mère sans presque d’yeux pour faire savoir ne pas avoir besoin de bien voir pour bien savoir. Quant à être un « ……» même symbolique, au vu de dires ça n’a pas marché, comme quoi ils sont certains de leur camelote. Il faut savoir que ceux qui pourraient le dire ne sont pas forcement au fait des problèmes en cours. Quant on porte ce nom là même pas de naissance, il faut s’attendre à en porter aussi les conséquences. Ça peut-être comme prendre des baguettes sur la montagne pour se faire battre, autant qu’il le sache pour les deux autres, des crabes pour marcher déséquilibrés comme tambours aussi. Comme je connais les autres sans avoir à les nommer non plus, ils ne pourront pas s’empêcher de lui faire savoir qu’ils savent qui il est sans bien se compromettre comme s’il serait question de lui rendre service, il verra bien comment ils procèdent. Pour Charlotte pour pas sa mère grand mais sa grand-mère quand même pour ne pas être un loup et la manger, ça a été du pareil au même, d’ailleurs à l’expérience, j’aurais mieux fait de l’épouser ; mais les intérêts étaient tout autres. Pour la suite, il sera le petit chaperon rouge comme une chèvre de Seguin aussi. Pour mettre un peu de sel sur l’histoire, il pourrait bien y avoir une sorte d’héritage à faire valoir avant un délai comme de presque un demi siècle pour arriver à un esprit sur deux mondes infinis comme Toussaint. D’ailleurs mon premier s’en est chargé pour imprégner la croyance sans faire référence à son père tout en lui montrant que de notre coté hormis les restes de ma mère il n’y a rien à prendre sauf des apparences. Pour le mot à la suite des opérations, pour clôturer le tout et réactualiser le souvenir, je le griffonne sur mon calepin comme les sens pour la largeur et la famille pour la hauteur à ne pas confondre avec le contexte et le pouvoir comme griffon qui saura le suivre. Je le reporterai au propre ce soir et il verra quand il le recevra que ce sera de sa presque écriture puisque à ne plus prendre de vitamine depuis bien longtemps je sais que les effets sont réversibles sauf pour certain additif que je n’ai pas eu pour n’en avoir pas subi les conséquences, même qu’on ne peut savoir par avance avec qu’elle chance le papier n’aura pas vieilli.. En attendant, si jamais il parle je pourrais toujours dire n’avoir rien dit. Peut-être pourrais-je faire le point avec lui en toute discrétion pour savoir où il en sera avec ses rennes dans la ville du même nom pour s’assurer de la suite. » A ce propos, l’on m’a effectivement dit que mon grand-père voulait me voir, ce qui ne risquait pas d’arriver en tant que vrai grand-père d’une part et que d’autre part de la façon dont ça m’a été dit je n’ai pas eu le temps d’écrire l’adresse du restaurant que je ne connaissais pas sur un papier. « Bien, nous nous sommes vus avant de pouvoir vaquer chacun de notre coté à nos occupations, je ne vous dit pas au revoir pour n’avoir pas à nous retrouver dans un même contexte avant longtemps ».
    (Note : il manque quelques détails que je ne dirais qu’en particulier rien que pour le plaisir de ne pas tout dire. Pour se repérer ça n’a pas de rapport avec les mots qui manquent.
    Pour l’histoire du mot John m’a déjà dit à peu prêt la même chose et grand P le redira à son propre propos en 1967, quant à Bertha, il m’a dit de ne pas avoir à en prendre compte comme quoi il était aussi au parfum ) .

    RépondreSupprimer